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dimanche 5 janvier 2014

Les affaires de familles vertueuses qui ne font pas taire la gauche

La gauche est-elle meilleure que les autres?

Les chiens ne font pas des chats


Et nous donc !
La vie des enfants d'élus de la République n'intéressent a priori personne. 

Mais quand il s'agit des rejetons de donneurs de leçons de la gauche caviar, il en est tout autrement, puisque leurs parents se parent de toutes les qualités, vraies et usurpées, et se posent en modèles de vertus. Et puis, quand c'est gratiné, la censure démocratique prive l'électeur des éléments qui participent d'un vote éclairé…

Révélations familiales, o
u la vie n’est pas toujours rose…

Chez les Reveyrand de Menthon
(à prononcer la bouche en "cul de poule"), une famille de diplomates, on n’épouse pas n’importe qui : il faut qu'elle soit bien née et à défaut une riche bourgeoise dont la dot relancera la famille du jeune couple.

Michel Reveyrand de Menthon a ainsi épousé la fille d’une très riche et très connue famille de scientifiques, les Touraine, en la personne de Marisol.
Celle-ci, en bonne fille bobo de la grande bourgeoisie, s’est lancée dans la politique, à gauche bien sûr, comme son homologue François Hollande lui aussi fils d’un richissime propriétaire de cliniques ORL dont il héritera un jour. Ségolène Royal n'avait cédé ni aux petites blagues, ni aux petits atouts du gros mou, ce que sa bonne camarade Aubry confirmera en le qualifiant de "gauche molle." 

Pour ne pas salir le nom des Reveyrand de Menthon par cette activité gauchiste peu compatible avec le champagne, le caviar, les vastes appartements à plafonds hauts et les voyages en first class, la frêle Marisol qui est assujettie à l’impôt sur la fortune (ISF), comme devrait l’être François Hollande, s'il n'avait à son service de fort bons conseillers financiers, a choisi de conserver son nom de jeune fille qui fleure bon la Résistance communiste en Indre-et-Loire : Touraine.

C’est sous ce nom qu’elle est actuellement députée PS, présidente PS du Conseil général d’Indre-et-Loire, une région de châteaux qui lui sied à merveille, et ministre PS des Affaires sociales et de la Santé, un ministère où elle s’agite beaucoup, faute de bien connaître le sujet.

La petite cumularde est aussi, cela va de soi, membre de clubs prestigieux, notamment Le Siècle, filiale française de Bilderberg et de la Trilatérale dont elle ne manquerait pour rien au monde les réunions du mercredi au Crillon, le grand hôtel de la place de la Concorde.

Avec une telle épouse, Michel, son époux -  point de "mari" et "femme" dans la haute, ça fait "normal" ou "populaire" - ne pouvait qu'embrasser une belle carrière.
Mais l’inverse est vrai aussi. Ambassadeur au Mali de 2006 à 2010 où il a, disent les media insolents de là-bas, à titre privé bien sûr, investi dans de fructueuses affaires, puis ambassadeur au Tchad où il n’a bien évidemment pas intrigué pour que l’armée tchadienne intervienne au côté  de l’armée française chargée par Hollande d’exterminer les musulmans  fanatiques qui salissaient le Nord du Mali et y faisaient se lever un "vent de révolte" qui sied à la France seule, selon Marie-Ségolène Royal, la démocratie et le développement économique.

Michel de, qui a largement dépassé les 60 ans, pourrait avoir pris sa retraite, mais il n'est pas de ces vulgaires manants de syndicalistes quand il reste tant à glaner depuis l'arrivée du PS au pouvoir et de Marisol au gouvernement

"On" lui a donc trouvé un posteà la mesure de ses ans et  surtout sur mesure : représentant spécial de l’Union Européenne. C’est prestigieux et très bien payé (et probablement défiscalisé), sans être trop astreignant, il n’en fallait pas moins pour le mari  d’une ministre socialiste bien en cour, et surtout ça justifie de très beaux voyages aux frais des contribuables, surtout en Afrique, au Sahel, pour y aller voir si la prospérité et la démocratie rétablies après l’intervention militaire de l'ami François se portent bien.

Pourtant, le bonheur dans la justice sociale des Reveyrand de Menthon n’est pas sans nuages.

Pour s'être débarrassés de l’éducation de leur fils Gabriel à du petit personnel, ils paient aujourd’hui cette négligence: le fiston est une petite frappe, un voyou qui, avec un ami à lui, a pénétré encagoulé dans un appartement du 13e arrondissement de Paris où il a ses habitudes et a séquestré en 2011 une femme seule pour lui extorquer sa carte bleue et ses économies en la menaçant d’un revolver sur la tempe.
On ne connaît pas le nom du copain si serviable, espérons qu’il n’est pas fils de l’un des sept autres millionnaires du gouvernement !

Gabriel Reveyrand de Menthon a été condamné en mars 2013 à trois ans de prison ferme après avoir justifié son geste par le besoin d’argent pour mener grande vie et rembourser une grosse dette, quand les jeunes de son âge se lèvent pour aller travailler ou pointer à Pôle Emploi.

À croire que papa-maman sont radins et gèrent mieux leur fortune que Hollande les deniers de l'Etat. On dit tout et n'importe quoi aussi et que les parents auraient au contraire voulu apprendre au fiston que le prix de l’argent honnêtement gagné à la sueur de son front. Pas laxistes pour un sou, père et mère auraient voulu lui serrer la ceinture et lui apprendre la valeur de l'argent.

Il a aussi été condamné à verser à sa victime 3.000 € au titre de préjudice moral. Quand on est une pauvre vieille femme du 13ème, 3.000 € ça pourrait être convenable, en plus de 990 € de préjudice matériel. De-là à conclure que la justice aux mains de Taubira, une ministre dont la candidature à la présidentielle coûta l'Elysée à Lionel Jospin en 2002, n’est pas aussi laxiste que le prétend l’opposition réac, il y a une marge. En 2004, le choix de Hollande fut condamnée par le conseil des Prud'hommes de Paris pour licenciement injustifié et rupture de CDD "abusive" concernant son ancienne assistante parlementaire, et doit lui verser 5 300 euros. Elle se serait même améliorée.

Mais, peut-être parce que Madame sa mère a écrit une belle lettre d’excuses à la victime de son fils, Gabriel n’a pas été incarcéré. Au final, les réacs n’ont peut-être pas tort: si la justice de gauche est généreuse avec l'argent public, elle est plus laxiste en matière de peines. 
Pire, l’avocate de la victime réclame toujours justice pour sa cliente qui n’a toujours pas vu le premier euro des 3.990 que le tribunal lui a accordés en dédommagement. 
Plus de six mois après le jugement,  les Reveyrand de Menthon assujettis à l’ISF n'ont toujours pas fait l'aumône et la justice de Taubira laisse courir.

Il est certes grand et beau que, comme Hollande qui exprime des regrets à bon compte au fil de ses bévues, la noblesse socialiste se fende de phrases bien tournées pour endormir la sexagénaire, mais si en plus il faut que la Place Vendôme fasse du recouvrement d'indemnisations justes, la canaille est vraiment pleine d'audace.

Quoi qu’il en soit, le 30 août dernier Gabriel est contrôlé assis à l’arrière de la 407 grise de Mère, avec une "personne". La presse libre et indépendante est discrète et respecte l'anonymat du ou de la complice (ni nom, ni sexe, ni origine), ce qui autorise les imaginations à folâtrer. Et si l'inconnu(e) était encore un fils de ministre ou une fille de président ? Personne au volant ni clés au tableau de bord. 
Passe une patrouille de police qui est attirée par une forte odeur caractéristique de cannabis qui sort de la voiture. Quand Taubira estime que les hommes de Valls font des excès de zèle, Marisol Reveyrand de Menthon n'est pas loin d'opiner. Contrôle d’identité : les deux présumés innocents ne sont des bleus et donnent de fausses identités. Les uniformes non plus: nouveau contrôle et découverte que l’un des camés est Gabriel Reveyrand de Menthon. 
Malgré son casier judiciaire, sa condamnation et sa peine de prison à faire, il est relâché sur instruction du ministère de Madame Taubira.
Cela étant, contrôle au faciès exige, l’enquête a été aussitôt clôturée. On ne connaîtra donc jamais le fin mot de l’histoire: bien que le nom du comparse fumeur de hasch, Yanis Parchap (ci-contre), ait finalement filtré, le pâtissier est de basse extraction et n'alimente pas la gazette Internet.

Chez ces gens-là, on ne s'en laisse pas compter. Le lendemain, rebondissement, Madame Touraine, épouse Reveyrand de Menthon, vient porter plainte au commissariat pour vol de sa 407 "encanabisée", laquelle est retrouvée peu de temps après dans le 13ème arrondissement: le fiston manquerait-il d'envergure? Gabriel explique qu’il a laissé la veille au soir les clés dans la boite aux lettres de papa-maman, comme il le fait d’habitude, et qu’elles ont dû être dérobées dans la nuit par des délinquants, ce qui démontre, si besoin était, que l’absorption de cannabis n'éveille pas l’intelligence, à moins que le sujet ait un QI de poulpe.

Car la boîte aux lettres de madame Mère, ministre à ses heures, n’est pas une vulgaire boite en zinc à la porte dégondée et pendante à l’extérieur de la maison. C’est une boîte d'immeuble rupin, protégée par une lourde porte et un digicode. Les policiers de plus en plus intrigués soupçonnent que la voiture de la ministre sert la nuit à des trafics peu recommandables et préviennent un juge (probablemnt du SM) qui décide de l’interpellation et de l’embastillement  de Gabriel à la prison de la Santé, début septembre. 
Dans combien de jours sera-t-il remis en liberté sous contrôle judiciaire ? 

Cela dit, ne jetons pas la pierre à Madame La Ministre de la Santé pour les incivilités de son fils, elle vient seulement grossir le nombre des précédents dans le beau linge.

Le calvaire des Rouveyrand n'est pas isolé

Jean-Christophe Mitterrand, le fils présumé du président du même nom.
Le 22 décembre 2000, "papa m'a dit est écroué, à 54 ans, à la prison de la Santé, où ils ont un club des enfants et parents de ministres socialistes. Il est accusé de complicité de trafic d’armes, trafic d’influence par une personne investie d’une mission de service public, recel d’abus de biens sociaux, recel d’abus de confiance et trafic d’influence aggravé.
Le 11 janvier 2001, quelques jours plus tard, Jean-Christophe Mitterrand est libéré contre le versement d’une caution, avant d’être de nouveau mis en examen pour recel d’abus de biens sociaux le 17 octobre 2001.
Le 27 octobre 2009, il est condamné à deux ans de prison avec sursis et 375.000 euros d’amende pour recel d’abus de biens sociaux dans le cadre du procès de l’Angolagate.

Thomas Fabius, fils du ministre étranger aux Affaires? Laurent Fabius, avait été condamné en juin 2011 à 15.000 euros d’amende, dont 10.000 avec sursis, pour abus de confiance par le Tribunal Correctionnel de Paris, dans le cadre d’une procédure de "plaider-coupable", procédure destinée à éviter un procès, à condition que l’intéressé reconnaisse sa culpabilité et accepte la peine proposée. 
Thomas Fabius est aussi visé par une enquête préliminaire pour "tentative d’escroquerie et faux". L’enquête, ouverte par le Parquet de Paris en mars 2012, a été confiée à l’office central de répression de la grande délinquance financière (OCRGDF). 
Et depuis juillet 2013, les policiers enquêtent aussi pour savoir comment ce fils de ministre qui ne paie pas d’impôts, le fils impécunieux, a pu acquérir en 2012 un appartement payé 7,4 millions d’euros (5ème étage, angle Bld Raspail et Bld St Germain, Paris 6e), mais évalué à 4,3 millions, car c’est le modèle-type d’une opération de blanchiment !


Trouver un logement à Paris n'est pas chose facile et les Fabius ne sont pas des Chevènement
Lien PaSDupes - "Chevènement refuse de libérer son logement social parisien": Chevènement squatte une HLM de Paris

ou Delphine Batho qui occupait un logement de 108 m2 pour 1.524 euros par mois, un prix très bas pour Paris...
Lien PaSDupes - D. Batho (PS) refuse de céder son logement social parisien à une famille défavorisée : Delphine Batho (PS) s'incruste dans son logement du parc social parisien.

Mais ce ne sont pas des fils et filles de.

Le Figaro en a trouvé quelques autres à droite. 
Gérard d'Aboville, ancien navigateur et conseiller de Paris dans le 15e, "quittera son logement, puisque c'est la règle imposée". Au centre, la conseillère UDI Édith Gallois et la MoDem Fadila Mehal seraien maintenant rentrées dans le rang, d'après le quotidien. 
Et à gauche? 
"Au moins deux conseillères et adjointes au maire PS sortant Bertrand Delanoë sont concernées", souligne Le Figaro, énumérant aussi la maire du 12e arrondissement, Michèle Blumenthal, une adjointe dans le 18e arrondissement Claudine Bouygues, son homologue dans le 11e arrondissement Liliane Capelle, ainsi que le conseiller du ...Parti de Gauche, Alexis Corbière.

Glissons sur les cas d’Henry Royal, sa sœur Marie-Ségolène glissant doucement dans le has been on ne va pas tirer sur l’ambulance, et du petit dealer Trierweiler dont la mère n’est rien.
Lien PaSiDupesUn frère de M.-S.Royal condamné en justice : un "beauf" du Président Hollande condamné pour outrage à policiers. Ce post rappelle au passage qu'un autre Royal, le frère Antoine, a eu aussi maille à partir avec la justice.PaSiDupes encore : Evelyne Pathouot témoigne sur Royal. L'ancienne collaboratrice de Ségolène Royal actuellement en procès contre elle et auteur du livre ...

Mais nous ne pouvons oublier le fils Taubira.
Hervé Delannon, 
l'un des quatre enfants de Taubira
Maman lui fait pas mal de tort, car on parle abondamment sur les réseaux sociaux, suite à une information dévoilée par l’hebdomadaire Valeurs Actuelles.
 
Douze ans avant de proposer, en tant que garde des Sceaux, des peines de substitution pour les personnes condamnées à moins de cinq ans de prison, Christiane Taubira — qui a réalisé la pire audience de l’émission Des paroles et des actes, sur France 2, le 5 septembre 2013, est alors simple petite députée de Guyane, mais avait tenté de faire annuler purement et simplement la condamnation d’un de ses fils pour complicité de vol par le tribunal de Bourges (avec dispense de peine). 
 
Dans un document en date du 5 février 2001 consulté par Valeurs actuelles, elle demande de faire procéder à une " annulation" (sic) de ladite condamnation. Et la future garde des Sceaux accusait la police de malveillance: "A chaque fois qu’il subit un contrôle d’identité, la consultation du fichier provoque sa conduite au commissariat." Comme en avril 1999, où un épisode analogue avait, selon elle, conduit des passants à venir témoigner librement en sa faveur. On ignore si Mme Taubira avait obtenu satisfaction de Marylise Lebranchu, alors Ministre de la Justice et actuellement ministre de la Réforme de l’État, de la Décentralisation et de la Fonction publique…
En principe, l’article était disponible sur le site d'opposition  Valeurs Actuelles, mais la ministre a dû exercer des pressions, car il est "actuellement indisponible", comme on dit dans les régimes totalitaires.

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