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lundi 16 septembre 2013

Les pirates somaliens du Ponant restent à la charge des Français

90.000 euros d'indemnités pour les pirates acquittés du Ponant

Les pirates du bateau de croisière français "Le Ponant" se sont pris d'affection pour la France

Abdulqader, Abdurahman et Abdullahi, 
trois bons partis 
pour les petites françaises !
En 2008, plusieurs pirates avaient été arraisonnés en mer par les commandos de la Marine français, alors qu'ils étaient encore en possession d'une partie de la rançon versée.  

Cinq ans plus tard,  le 14 juin dernier, ces six brigands âgés de 25 à 40 ans avaient comparu devant une Cour d'Assises française. Le ministère public requit des peines allant de 10 à 15 ans de prison. Mais leurs avocats commis d'office -donc payés par nos impôts- sont parvenus sans peine à les faire passer pour des victimes par la justice de la Guyanaise Taubira...

Ces honnêtes laboureurs de la mer ont en effet  été interpellés par des autorités étrangères n'ayant aucun pouvoir légal dans les eaux territoriales d'un état souverain
Mieux, ces gentils Somaliens auraient même été déportés en France ! 
Arrêtés au large de la Somalie, ces deux truands avaient été ramenés de force en France par l’armée française, avaient passé quatre ans en détention provisoire avant finalement d’être acquittés par la cour d’Assises de Paris en juin dernier. 
Depuis, ils ont été pris en charge par des associations et leurs avocats pour commencer une nouvelle vie à Paris.

Verdict: acquittement en juin 2013, libération immédiate des pirates et versement d'une indemnité de 90.000 euros à chacun
Pour préjudice moral ! Rendez-vous compte: ils ont été éloignés pendant plus de quatre ans de l'affection de leurs proches.

Mais leurs avocats ont déjà annoncé qu'ils font appel. 
"C’est honteux, lance Augustin d’Ollone, fils de et avocat 3 rue Rossini, Paris 9e, de l’un des deux Somaliens. Nous allons faire appel de cette décision. Nous réclamions 455.000 euros pour notre client…"
Et puis le juge a décidé que deux acquittés ont également droit au remboursement de leur préjudice matériel. 
En clair, l’Etat -donc vous et moi, les contribuables moyens qui deviendront petits- doit verser aux pirates une partie du salaire -en euros- auxquels ils auraient pu prétendre en dehors de leur prison. Les deux Somaliens étaient pêcheurs de langoustes dans leur pays, ils n’ont obtenu respectivement que 3.000 et 5.000 euros correspondant à ce préjudice matériel.

L'un des pirates sera éligible à une pension de santé 
Maître d’Ollone a déjà prévu de contester la décision pour le compte d’Abdulqader, son client. Il a également réclamé une expertise psychiatrique pour déterminer s’il ne peut pas prétendre à une autre forme de réparation. "En prison, il a développé un syndrome de Ganser qui se manifeste par l’apparition d’hallucinations liées à l’enfermement, poursuit l’avocat. Aujourd’hui, il est sorti de prison, mais il ne peut plus vivre seul. Il est totalement handicapé à cause des méfaits de la prison…" On croit halluciner !

Ces pêcheurs "ordinaires" se sentent lésés et vont alors pouvoir exiger en sus que leur soit restituée la partie de la rançon que l'Etat avait récupérée... 

Il faut en outre savoir que le cher maître (1976) est aussi auteur de théâtre. 
Il a écrit la pièce T.O.C. (Troubles obsessionnels compulsifs)... ce qui interpelle sur le risque évident de confusion mentale entre prétoire et scène de théâtre.

Maître d'Allone est-il toujours du bon côté de la barre ?
En novembre 2011, Mohammed, un Egyptien de 22 ans, était incarcéré depuis plus d'un mois après la mort, sur les rails du métro de la station Crimée, dans le XXe arrondissement de Paris, d'un Indien de 33 ans surnommé "Babu", lorsque le détenu avait été remis en liberté et placé sous contrôle judiciaire. C'est l'affaire Babu, du nom de la victime morte électrocutée sur les rails du métro. 
Les enquêteurs avaient recueilli des témoignages assurant que - sans arrières- pensées? - le jeune homme n'avait fait que proposer "des bonbons" à des jeunes filles et que "Babu" avait été celui qui avait porté les premiers coups lors de la rixe. "Cette libération est une première victoire vers la démonstration que Mohammed a agi en état de légitime défense", s'était félicité son avocat ...Me Augustin d'Ollone.

Si, 
dans l'affaire du Ponant, les victimes de l'Etat français ne profitent pas du billet retour avec le Glam - bien qu'ils soient déclarés coupés de leurs attaches somaliennes -, ils pourraient maintenant  se prévaloir de leur connaissance du français acquise en cinq ans et bientôt prétendre à la nationalité française,  "à titre de réparation !

Avec le temps,
Taubira pourrait les prendre sur son contingent et les recommander à Hollande pour une légion d'honneur... 
A propos, tirer les cheveux des femmes n'est plus un obstacle en France. Alors, pourquoi se priver ?

Quant aux valeureux commandos de Marine (jusqu'à preuve du  contraire, le FN n'y est pour rien) qui ont pris ces criminels, déjà désavoués par les juges, ils pourraient aussi être poursuivis à leur tour pour arrestation illégale et détention arbitraire. 
En démocratie, ça se passe comme ça: les honnêtes gens trinquent pour les autres.

2 commentaires:

  1. Honte à "notre justice "

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  2. Et pour le prejudice moral des otages, ils ne doivent rien ???
    justice de m...

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