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dimanche 12 août 2012

Les barbus tunisiens pourraient déchoir leur médaillé de sa nationalité champion

Oussama Mellouli, deux médailles aux J.O., pourrait perdre sa nationalité !



En Tunisie, on peut porter 
le prénom de Ben Laden
et être traité comme un mécréant



Le Comité olympique se prosterne mais les islamistes tunisiens se raidissent


Les épreuves de JO 2012 se déroulent cette année pendant le ramadan. 
Pour 3 000 sportifs musulmans présents à Londres, le cas de conscience est épineux. 

Les lois islamiques sont si peu claires que les avis divergent
Certains pays suggèrent que les spécialistes des lois islamiques émettent un avis dispensant les sportifs en compétition d’observer le ramadan ; d’autres souhaitent que la participation aux JO soit assimilée à un voyage, qui exempte les musulmans du carême. 

Des oulémas estiment cependant que les athlètes qui ne jeûneront pas devront faire pénitence, car leur décision est volontaire. Pour chaque jour non respecté, ils devront jeûner soixante jours, nourrir 60 pauvres ou faire un don financier équivalent. C’est le choix de Mohamed Sbihi, de l’équipe britannique d’aviron : " Je ne jeûnerai pas ; en contrepartie, je nourrirai 1 800 démunis au Maroc. C’est une décision personnelle prise en accord avec ma famille. "

Le CIO s'islamise, se montrant très complaisants envers les  musulmans et athlètes radicaux

Piètre athlète, mais prosélytisme maximum
La judoka saoudienne Wodjan Ali Seraj Abdulrahim Shahrkhani, autorisée à porter un foulard par le CIO, n'aura pas tenu longtemps dans le tournoi, éliminée en une minute et quarante secondes. Une participation qui suscite de nombreuses interrogations, selon Michel Brousse, judoka et historien du judo.




Nouveaux dommages collatéraux du "printemps arabe"

Des islamistes exigeants
De nombreuses protestations de la Commission islamique des droits de l’homme, de la Turquie, de l’Égypte et du Maroc ont demandé de décaler le calendrier des rencontres… 
"On peut tout à fait concourir, même si on jeûne, estime le Saoudien Ossemah Masoud Alshinqiti, champion paralympique du triple saut à Pékin. On l’a déjà fait en 2008. "

Et des islamistes intolérants
La Tunisie sanctionne l'un de ses athlètes après coup, malgré deux médailles remportées. 


La Tunisie nouvelle se signale  à nouveau pour son intolérance

Le champion olympique Oussama Mellouli est la tête de turc des islamistes
Il sera sanctionné pour l'exemple
En effet, il ne sera pas seulement contraint de distribuer des repas aux pauvres musulmans… 
Oussama Mellouli  vient d’offrir à son pays deux médailles aux Jeux olympiques de Londres, mais le champion tunisien devra accepter de perdre sa nationalité tunisienne pour avoir bu un verre de jus à la fin de sa course de 10.000 mètres nage libre..


La Tunisie nouvelle serait-elle bornée ?
Le Tunisien de 28 ans a obtenu trois médailles olympiques (dont deux en or) et a détenu jusqu'à huit médailles mondiales dont deux lui ont été retirées en 2007 après un contrôle positif aux amphétamines (or sur 800 m et argent sur 400 m). 
A Londres, il a décroché le titre olympique sur 10 km en eau libre, quatre ans après avoir glané l'or en bassin sur 1500 m.

4 commentaires:

  1. gigi et gigi
    Lettre du Père Charles de Foucauld adressée à René Bazin, de l'Académie française, président de la Corporation des publicistes chrétiens, parue dans le Bulletin du Bureau catholique de presse, n° 5, octobre 1917 :
    "Ma pensée est que si, petit à petit, doucement, les musulmans de notre empire colonial du nord de l'Afrique ne se convertissent pas, il se produira un mouvement nationaliste analogue à celui de la Turquie : une élite intellectuelle se formera dans les grandes villes, instruite à la française, sans avoir l'esprit ni le cœur français, élite qui aura perdu toute foi islamique, mais qui en gardera l'étiquette pour pouvoir par elle influencer les masses ; d'autre part, la masse des nomades et des campagnards restera ignorante, éloignée de nous, fermement mahométane, portée à la haine et au mépris des Français par sa religion, par ses marabouts, par les contacts qu'elle a avec les Français (représentants de l'autorité, colons, commerçants), contacts qui trop souvent ne sont pas propres à nous faire aimer d'elle.

    Le sentiment national ou barbaresque s'exaltera dans l'élite instruite : quand elle en trouvera l'occasion, par exemple lors de difficultés de la France au dedans ou au dehors, elle se servira de l'islam comme d'un levier pour soulever la masse ignorante, et cherchera à créer un empire africain musulman indépendant.

    L'empire Nord-Ouest-Africain de la France, Algérie, Maroc, Tunisie, Afrique occidentale française, etc., a 30 millions d'habitants ; il en aura, grâce à la paix, le double dans cinquante ans. Il sera alors en plein progrès matériel, riche, sillonné de chemins de fer, peuplé d'habitants rompus au maniement de nos armes, dont l'élite aura reçu l'instruction dans nos écoles. Si nous n'avons pas su faire des Français de ces peuples, ils nous chasseront. Le seul moyen qu'ils deviennent Français est qu'ils deviennent chrétiens.
    à suivre

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  2. suite
    Il ne s'agit pas de les convertir en un jour ni par force mais tendrement, discrètement, par persuasion, bon exemple, bonne éducation, instruction, grâce à une prise de contact étroite et affectueuse, 1⁄2uvre surtout de laïcs français qui peuvent être bien plus nombreux que les prêtres et prendre un contact plus intime.
    Des musulmans peuvent-ils être vraiment français ? Exceptionnellement, oui. D'une manière générale, non.
    Plusieurs dogmes fondamentaux musulmans s'y opposent ; avec certains il y a des accommodements ; avec l'un, celui du « Medhi », il n'y en a pas : tout musulman, (je ne parle pas des libre-penseurs qui ont perdu la foi), croit qu'à l'approche du jugement dernier le Medhi surviendra, déclarera la guerre sainte, et établira l'islam par toute la terre, après avoir exterminé ou subjugué tous les non musulmans. Dans cette foi, le musulman regarde l'islam comme sa vraie patrie et les peuples non musulmans comme destinés à être tôt ou tard subjugués par lui musulman ou ses descendants ; s'il est soumis à une nation non musulmane, c'est une épreuve passagère ; sa foi l'assure qu'il en sortira et triomphera à son tour de ceux auxquels il est maintenant assujetti ; la sagesse l' engage à subir avec calme son épreuve; " l'oiseau pris au piège qui se débat perd ses plumes et se casse les ailes ; s'il se tient tranquille, il se trouve intact le jour de la libération ", disent-ils.

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    1. suite et fin
      ils peuvent préférer telle nation à une autre, aimer mieux être soumis aux Français qu'aux Allemands, parce qu'ils savent les premiers plus doux ; ils peuvent être attachés à tel ou tel Français, comme on est attaché à un ami étranger; ils peuvent se battre avec un grand courage pour la France, par sentiment d'honneur, caractère guerrier, esprit de corps, fidélité à la parole, comme les militaires de fortune des XVIe et XVIIe siècles.

      mais, d'une façon générale, sauf exception, tant qu'ils seront musulmans, ils ne seront pas Français, ils attendront plus ou moins patiemment le jour du Medhi, en lequel ils soumettront la France.
      De là vient que nos Algériens musulmans sont si peu empressés à demander la nationalité française : comment demander à faire partie d'un peuple étranger qu'on sait devoir être infailliblement vaincu et subjugué par le peuple auquel on appartient soi-même ?
      Ce changement de nationalité implique vraiment une sorte d'apostasie, un renoncement à la foi du Medhi..."
      Charles de FOUCAULD Medhi = Le Bien-aimé = le Sauveur de l’Islam

      Voila une analyse qui reste très actuelle, et elle est à prendre en compte pour comprendre les musulmans.

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  3. C'est exactement ce qu'il faut savoir et bien comprendre.

    L'intégration comme nous occidentaux la comprenons n'existe pas.

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