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lundi 14 novembre 2011

Primaires: Aubry avait offert un ministère à Montebourg

Le coup de pied de l'âne Montebourg




Montebourg dégaine et tire à vue:
c'est le kärcher du PS...



Le troisième homme règle ses comptes

Dans l'affaire Guérini, Montebourg avait réclamé la tête du président socialiste mafieux du Conseil général des Bouches-du-Rhône. Mais Martine Brochen-Aubry l'avait désavoué, préférant se ménager les bonnes grâces du baron régional.
Lien PaSiDupes: "Aubry choisit Guérini, le mafieux, contre Montebourg, l'accusateur public"

Aujourd'hui favorable à Hollande, le petit député de Saône-et-Loire fait quelques révélations "salissant" un peu plus la méchante image de l'amère de Lille qui n'avait déjà pas besoin de cela, ajouté à ses injures à la majorité et à son "pacte" secret dit de Marrakech, avec Dominique Strauss-Kahn.

Montebourg étale le linge sale socialiste sur la place publique

Le député socialiste a indiqué lundi 14 novembre que la seconde du premier tour marchandait les ministères qu'elle ne possédait pas. Martine Brochen-Aubry lui avait en effet proposé un porte-feuille de ministre en échange d'un ralliement à sa candidature au second tour des primaires du PS.
Arnaud Montebourg précise que " les discussions politiques " ne leur avaient pas permis de parvenir à un accord d'entre-deux tours.


Le député de Saône-et-Loire déballe
A la question " Est-il vrai que Martine Aubry, dans l'entre-deux-tours de la primaire, vous a proposé un poste de ministre ? ", Montebourg ne se cache pas sur France Inter : " Je crois que c'était assez clair. Oui ".
Et d'insister: " Ce que je peux dire, c'est que la discussion n'a pas été suffisamment politique avec Martine Aubry. Quelle orientation politique ? Comment allons-nous traiter la question du système financier aujourd'hui, qui est en train de brider les démocraties ? Ce sont des questions fondamentales et là-dessus, il était très difficile d'avancer avec Martine ", a-t-il ajouté, en guise de coup de grâce.

Hollande était-il mieux disant ?
" Cette question n'a jamais été évoquée avec François Hollande ", a-t-il assuré. Une révélation pas forcément bonne pour l'image de la maire de Lille.
Le député avait donc apporté son soutien à François Hollande pour le second tour, non seulement " à titre personnel ", mais aussi bénévole: à titre gracieux, sans retour, par bonté d'âme...
Rien que pour régler son affaire à l'amère de Lille !

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