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vendredi 23 octobre 2009

Polémique de l’EPAD : opportunité pour Jean Sarkozy de se faire un prénom

Frédéric Mitterrand : Jean Sarkozy a fait une entrée "fracassante" en politique
L'intervention télévisée de Jean Sarkozy le 22 octobre, au cours du journal télévisé de France 2, aura impressionné ceux qui se seront faits manipuler par les media d’opposition, sans avoir jamais pu juger la cible sur pièce.

Après deux semaines de polémique, le fils du président a privé la gauche d’un cheval de bataille dopé à la désinformation. Alors que la fille de l’affreux Jojo Bové (lire PaSiDupes) est bombardée tête de liste aux régionales de 2010, bien qu’inconnue, fort peu diplômée et sans avoir jamais occupé aucun poste de responsabilité, cette même presse partisane ne l’a pas prise pour tête de turc.

Ereinté par des journalistes de mauvaise foi qui se seront succédés en rangs serrés sur toutes les chaînes de radio et de télévision pour répéter ad nauseam les mêmes contrevérités et mensonges, Jean Sarkozy a quant à lui retiré sa candidature à la tête de l'Etablissement public d'aménagement de la Défense (EPAD). Marie Bové pourra en revanche obtenir un siège de conseiller régional en Aquitaine, sans trop forcer, parce que tête de liste par la volonté du prince rouge : une sinécure de six années, avec des indemnités qui tomberont régulièrement chaque mois et la promesse d’une belle retraite. La fille de… en avait assez de « hurler dans la rue » !
Le retrait de la candidature de Jean Sarkozy à la fonction de président élu de l’EPAD aura apaisé la gauche républicaine, dont le parachutage de la petite Bové, sortie de nulle part en Aquitaine, ne trouble pas le sommeil, bien au contraire: on peut se proclamer démocrate et s’honorer de pratiquer le ‘deux poids deux mesures’.

Jean Sarkozy, un talent hors père

  • Le « talent » de Sarkozy-le-Jeune a crevé l’écran de télévision
    Bien que la gauche se proclame proche de la jeunesse, elle avait douté des capacités de l’un d’entre eux, du seul fait qu’il porte un nom redouté : un jour, le jeune Sarkozy pourrait en effet faire des dégâts dans les rangs de la gauche, comme son père depuis de nombreuses années. Très cohérent, le PS entend d’ailleurs se rénover en promouvant la génération montante, mais Sa Cynique Majesté Royal a envoyé un jeune Beur, Kamel Chibli, se faire étriller à sa place au Bureau national du PS et l’un des socialistes les plus virulents contre Jean Sarkozy était précisément Nono Montebourg, le Monsieur Seguin du PS, chargé de sa rénovation … Après ça, les jeunes vont certainement accourir pour adhérer.
  • Jean Sarkozy a du talent à revendre à Marie Bové
    "Du talent ? Jean en a assurément à revendre. Il est promis à devenir un fauve politique. Sa prestation sur France 2 était un sans-faute qui marquera sa jeune carrière que la polémique aura boostée." Dommage seulement que "le talent ne [suffise] pas à fonder la légitimité", face à "une opinion que le président de la république a lui-même nourrie à l'idéologie de l'ordre juste [sic], de l'effort et du mérite", selon Courrier International. En admettant qu’à la façon de Barack Hussein Obama Sarkozy Nicolas ait imité Désirdavenir Royal…

    "Mon devoir, c'est de prendre conscience d'une situation qui peut me dépasser, d'en prendre acte. Je ne suis pas sourd, je ne suis pas aveugle." Par ces mots, Jean Sarkozy, 23 ans, a annoncé jeudi soir au 20 heures de France 2 qu'il renonçait à briguer la présidence de l'Epad. Le fils du chef de l'État, qui, en sa qualité d’élu au Conseil Général du 9.2, exprimait, il y a quinze jours, son intention de postuler à la présidence de La Défense, premier quartier d'affaires d'Europe, a pris en compte les critiques, si arbitraires soient-elles, qui se sont levées.. Tandis que la fille Bové préparait sa prise de la direction de la liste régionale Europe Ecologie, l'opposition avait hurlé au népotisme et Jean Sarkozy avait eu le privilège d’un lynchage par la presse militante, jusqu’en Chine communiste... Jean Sarkozy se sera finalement déterminé librement, malgré les interventions des membres du gouvernement et de l'UMP qui soulignèrent la légitimité du conseiller général des Hauts-de-Seine et l'intervention de Nicolas Sarkozy lui-même pour soutenir son fils. La presse vertueuse n'aura pas contraint Joseph Bové à jurer ses grands dieux qu’il n’a pas sollicité le parrainage de son enfant par l’amer Mamère, un autre Verts. Point de mafia à gauche…

    L’apparition de Marie à Dany-le-Rouge

  • Daniel Cohn-Bendit monte en première ligne, puisque la candidature de la pistonnée Verts n’est pas du népotisme, mâtiné d’usurpation. Quel militant Verts Dany-le-Rouge a-t-il sacrifié pour placer sa protégée au premier rang, dont le seul talent est d’être la fille de son camarade ;
    Pas de copinage à gauche
    Pourtant, Dany ne fait pas grand cas du suffrage populaire quand il assure que «Marie Bové a un passé militant, pas Jean Sarkozy », car ce dernier est à la fois militant et élu, ce qui lui importe fort peu, dès lors que sa protégée n’a encore guère su qu’hurler dans la rue.
  • A la différence de la petite Marie de Joseph Bové, Jean Sarkozy a affirmé jeudi ne pas vouloir d'une "victoire qui porte le poids du soupçon". Soupçons de "passe-droit", de "favoritisme", de "traitement de faveur", a-t-il insisté, marquant sa différence. La fille de… peut-elle en dire autant ?

    VOIR et ENTENDRE l’entretien de Jean Sarkozy sur France 2 :



    Interrogé pour savoir s'il avait annoncé à son père cette décision, Jean Sarkozy a dit : "Est-ce que j'en ai parlé au Président ? Non. Est-ce que j'en ai parlé à mon père ? Oui. Il est comme tous les pères et je suis comme tous les fils. (...) Dans des moments qui sont difficiles, nous parlons ensemble. Je lui ai fait part de ma décision, une décision que j'ai prise seul et que j'assume seul en conséquence." Et de préciser : "Il n'y a aucune amertume chez moi. Les critiques font partie du combat politique, je ne m'en plains pas."

    Toutefois, Jean Sarkozy a dénoncé une "campagne de manipulation et de désinformation orchestrée de manière professionnelle" autour de sa candidature. "On a parlé d'intrigues, de manoeuvres, de choses fausses", a-t-il dit.
    Le fils du chef de l'État a malgré tout été élu administrateur de l'Epad vendredi.
    Il n'a pas souhaité s'exprimer sur l'éventualité d'une candidature à la présidence du Conseil général des Hauts-de-Seine en 2011.

    Chacun aura pu apprécier la lucidité et la maîtrise de ce jeune dont l’opposition dénigra la jeunesse.

    Un ministre d’ouverture qui en a

    Le ministre de la Culture, Frédéric Mitterrand, a estimé samedi que Jean Sarkozy, fils cadet du chef de l'Etat, avait fait une entrée "fracassante" en politique en renonçant jeudi à briguer la présidence de l'Etablissement public d'aménagement de la Défense (Epad).
    "Je crois qu'à l'arrivée, toute cette polémique, et la manière dont il l'a surmontée et dont il l'a maîtrisée, va lui servir", a déclaré M. Mitterrand sur RTL.
    "En vérité, il a fait une entrée fracassante en politique, et cette entrée montre qu'il n'est pas près d'en sortir", a-t-il ajouté.
    "Moi à qui pendant 40 ans on a dit que j'étais le neveu de François, je comprends que pour lui qui en a 23 on lui explique qu'il est le fils de son père", a poursuivi le ministre de la Culture. "Ce qui est intéressant, c'est la manière dont on y répond: Jean Sarkozy a été impressionnant, et je crois que tout le monde, y compris ceux qui ont été le plus remontés contre lui, s'en sont rendu compte", a-t-il jugé.

    « Jean Sarkozy n’est pas Marie Bové » : encore heureux !
  • 1 commentaire:

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