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mardi 28 avril 2009

Nicolas Sarkozy chaleureusement accueilli à Madrid

Le sommet bilatéral de l'amitié franco-espagnole
Si RFI le dit, on peut croire ces opposants du service public!

« Nicolas Sarkozy, accompagné de son épouse, a entamé ce lundi une visite d'Etat de vingt-quatre heures en Espagne. Après la visite lundi après-midi du musée du Prado et le dîner d'Etat pour les couples présidentiel et royal au Palais de la Zarzuela, l'essentiel des entretiens politiques aura lieu mardi lors de la réunion bilatérale qui réunira Nicolas Sarkozy et José Luis Zapatero. »

Après avoir admis que l'ambiance était « plus qu'amicale », comme l'ont noté Paris et Madrid, la radio prétend que les acteurs étaient « soucieux tous deux de faire oublier la polémique sur des propos attribués au chef de l'Etat français sur le président du gouvernement espagnol José Luis Zapatero ». France Info avait même affirmé, avant l'arrivée du président, que son souci était de s'expliquer sur la désinformation du journal d'opposition français, Libération.
Les personnes bien informées avaient pourtant cru que les hommes d'état se retrouvaient pour un sommet bi-latéral franco-espagnol, où l'éternelle parasite Royal s'étaient invitée, sans carton, comme elle s'était invitée lors de la cérémonie d'investiture du président Barack Hussein Obama. Alors placée à 100 mètres, le corbeau Royal avait cette fois adressé une lettre de dénonciation pardon à son camarade Zapatero, dont elle avait quémandé le soutien pendant sa campagne présidentielle perdante-perdante.

Le président Sarkozy étrille les âne et ânesse socialistes


Alors qu'on lui demandait s'il avait parlé de cela avec José Luis Zapatero, Nicolas Sarkozy a répondu: "Nous n'avons pas une seconde à perdre là-dessus. On en a parlé ? Non. Ca nous intéresse? Non. On tourne la page? On ne l'avait même pas ouverte". Le président français est donc revenu sur la récente polémique visant à irriter José Luis Rodriguez Zapatero lors de la visite présidentielle en Espagne, mardi 28 avril. Pour le chef de l'Etat, c'est de la "politicaillerie française": il s'agit d'un "petit clapot d'un médiocre débat politicien en France", a ironisé le chef de l'Etat, qui s'exprimait lors d'une conférence de presse conjointe avec le président du gouvernement socialiste espagnol à l'issue du sommet bilatéral qui les réunissait.

François Fillon avait peu avant déclaré que la visite d'Etat de Nicolas Sarkozy en Espagne constituait "une formidable gifle aux élucubrations de Ségolène Royal". Le chef du gouvernement s'exprimait pendant la réunion du groupe UMP à l'Assemblée nationale, selon plusieurs participants.
La crapoteuse Royal trouvera là l'occasion de se traîner à nouveau sur les genoux.

Coup de sabot de l'âne bâté

Libération titrait le 28 avril 2009: Carla - Letizia : Barbie première dame contre Barbie princesse ?
Les préférences monarchistes de Libération surprendront (peut-être) ses lecteurs, mais indigneront certainement les républicains français. Sur le sujet de la volonté polémiste du canard, nous ne nous étendrons pas.

Nous nous permettrons seulement de lui faire observer que la princesse espagnole qu'ils plébiscitent est une roturière.
Si elle avait été d'origine aristocratique, Carla Bruni-Sarkozy aurait-elle remporté les suffrages des incohérents de Libération?

Au rayon des futilités qui conviennent si bien aux baveux de Libération, on trouve ce commentaire bienveillant:
« Posant pour les photographes juste avant un déjeuner au palais de la Zarzuela lundi 27 avril, les deux femmes [dames ?] ont misé sur un look de Barbie, les cheveux légèrement lâchés, des robes on ne peut plus convenables, sans décolleté, dans des tons sobres, une tenue Dior bleue pour la Française et un ensemble prune pour l'Espagnole. », ce que contredisent les photos ci-dessus.

Autre détail de ces spécialistes du Gotha:

« … Au cours du dîner officiel au Palais Royal lundi soir. Les deux femmes avaient adopté le look des Miss, chacune une écharpe autour du torse. »
Or, les manants n'ont pas appris dans leur école régionale de journalisme que les écharpes, sur lesquelles ils font une fixation, sont des cordons: comme nous avons le «grand cordon de la Légion d'honneur », les Espagnols ont le « collier de l'ordre royal de Carlos III », la plus haute distinction civile espagnole (ci-contre) , qu'ils ont remis à leurs amis Français.

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