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mercredi 1 avril 2009

Européennes : le parachuté socialiste Vincent Peillon avoue être doré sur tranche

Payer 3.000 euros d’impôts de plus ne lui ferait pas peur

Un rupin, tête de liste socialiste dans le Sud-Est

Le socialiste Vincent Peillon, député de la Somme mais tête de liste dans le Sud-Est …à côté, s'est déclaré prêt "par solidarité" à payer "3.000 euros d'impôts de plus" sur ses revenus. De quoi impressionner les électeurs précaires.

Dans un débat sur France 5 face au patron des députés UMP, Jean-François Copé, qui démontrait que le PS fait de la "démagogie", l’eurodéputé socialiste en a illico fourni l’illustration. "Si le gouvernement me disait par solidarité, il faut payer 3.000 euros de plus cette année, je le ferais, car c'est du superflu et pas du nécessaire", a déclaré V. Peillon dans l'émission Ripostes du Tontonmaniac idolâtre Serge Moati, diffusée dimanche sur France 5.

Un étalage malsain ?

  • La tête de liste PS aux Européennes pour le grand Sud-Est a révélé disposer avec son épouse d'un revenu annuel "d'un peu plus de 100.000 euros".
    "Nous ne sommes pas dans les classes moyennes, nous sommes dans les classes supérieures et je paie 12.000 euros d'impôts par an", s’est-il vanté.

    Ou une provocation politicienne ?

    Ce proche de Sa Cynique Majesté Royal a alors mis au défi le président du groupe UMP à l'Assemblée Nationale, Jean-François Copé, avec lequel il débattait dans l'émission, de révéler le montant de ses revenus.
    "La différence entre la gauche et la droite, elle est là. Quels sont vos revenus? Il faut dire si on défend l'argent ou le pays" a lancé l'obsédé de l'argent.
  • J.-F. Copé, élève de Sciences Po et de l’ENA, fils du professeur Roland Copé, chirurgien gastro-entérologue, a manifesté plus de pudeur sur ses revenus, soulignant la "démagogie" de son interlocuteur et de se "faire plaisir en cognant" sur les riches. Il est le.
    "Moi, je ne serai pas de ceux qui iront se faire plaisir en allant taper les méchants riches", a assuré le patron des députés UMP.
    "Qu'il faille prendre des mesures très strictes (sur les revenus des dirigeants), afin d'éviter les abus, j'en suis, mais qu'il faille pointer du doigt nos entrepreneurs, qu'ils soient de grandes ou de petites entreprises je n'en serai pas", a ajouté le maire de Meaux.
    "Je pense que chaque Français est important" et "si nous sommes à taper sur les plus fortunés beaucoup plus que dans les autres pays, ils iront ailleurs" a-t-il poursuivi.
  • Nous avons trop de riches et pas assez de pauvres
    Le PS n'en a pas fini avec la lutte des classes.
    Moins que jamais, la crise venue.
    La démagogie restant.

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