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dimanche 4 mai 2008

Patron-voyou, la socialiste Royal s’en prend aux magistrats

Royal soupçonne les magistrats de soumission au pouvoir
Sa Cynique Majesté Royal sait de quoi elle parle, puisqu'elle est elle-même magistrate...
Le Syndicat de la Magistrature ne sourcille pas ! Le SM n’est pas aussi susceptible que les mauvaises langues le prétendent… Il a les yeux de Chimène ( ?) pour la Charentaise, Désirdavenir Royal, qui peut dire n’importe quoi sans qu’ils n’y voient provocation ! Point d'insulte entre soi... Qu’a-t-elle encore inventé ?
Marie-sEGOlène Roayal a omis « à l’insu de son plein gré », comme par inadvertance, de payer deux de ses collaboratrices. Le tribunal n’a pas aimé et l’a condamnée. Comme le rédacteur en chef du Nouvel Observateur, Airy Routier, le contre-facteur du vrai-faux SMS imputé au Président de la République, elle se croit quitte en exprimant de simples regrets plutôt que des excuses ! La presse n’a pas été plus choquée que cela, ce qui est d’autant plus étonnant, que la petite présidente de Poitou-Charentes, se plaint constamment de ne pas être gâtée par les media… A l'instar de son ombre, Bayrou, n°3 seulement à la présidentielle !

Qu’est-ce qui aurait pu irriter le Syndicat de la Magistrature ?
« Les propose tenus par Jean-pierre Raffarin sont diffamatoires
» a-t-elle affirmé, courroucée.
Jusque là rien, il est vrai, et bien au contraire, qui aurait pu froisser les robes des magistrats. Rappelons toutefois pour mémoire ce qu' a déclaré l’ancien Premier Ministre de Jacques Chirac et que la censure de gauche lui interdit de dire, réagissant à la condamnation de Madame Royal par la cour d’appel de Rennes pour licenciement abusif :
« Le jugement de la Cour d’appel de Rennes disqualifie Madame Royal pour l’exercice de responsabilités sociales. La présidente de Poitou-Charentes qui donne des leçons à la terre entière, mais qui traite ses collaboratrices de manière condamnable, se trouve aujourd’hui face à ses mensonges. Cette faute impardonnable de la part de celle qui a reçu une formation de magistrat est inacceptable pour la gestionnaire de la première collectivité territoriale de la région. Que dire de celle qui prétend être capable de diriger la France ? Cette procédure de justice n’est pas la seule, les pratiques de la Présidente de Poitou-Charentes l’ont exposé et l’exposent encore à des déboires judiciaires. Le code des collectivités territoriales n’est pas mieux respecté que le code du travail. L’honneur et la dignité devraient conduire Madame Royal à tirer toutes les conséquences politiques de cette condamnation par la justice de notre pays ».

La vertueuse magistrate socialiste condamnée s’est emportée.
Rien de commun pourtant avec la mise en scène par le socialiste Le Guen d'une "colère saine" pour la représentation unique et télévisée de la campagne présidentielle.
« Cette raffarinade a au moins un avantage. On voit bien qui est à l’origine de ce guet-apens judiciaire. »
Ainsi donc s'est-elle livrée à deux accusations:
- les magistrats tendent des guet-apens
- ils devancent les volonté d'un ancien Premier ministre.
Quiconque aurait prononcé ces mots aurait provoqué sa condamnation par le Syndicat de la Magistrature. Or, le SM a bien aimé… Dans sa tolérance coutumière, il n’a rien trouvé à redire à sa consoeur ! D’aucuns auraient même cru perçevoir l’indicible compassion de la magistrature pour la condamnée, compassion exclusivement réservée d’ailleurs aux coupables. Si le raisonnement de PaSiDupes est bon,
le SM a donc entendu et entériné le jugement du tribunal de Rennes, au bout d’une année de procédure et de jugements cassés. En revanche, il n'a pas prêté attention à la diffamation de la promotrice de la "république du respect".
Solidarité de magistrats ?

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