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mardi 22 avril 2008

Dans les universités, la gauche désinforme, comme ailleurs

Des professeurs ne gagnent pas le respect qu’ils méritent

Un canular peut devenir une rumeur
et d’une rumeur on fait une vérité…

Ne sachant que proposer, quelles critiques valables formuler, la Gauche ne sait que déformer la vérité; lorsqu'elle n'y parvient même plus, elle invente tout simplement des mensonges-- faux documents à l'appui.
Une fausse circulaire a récemment été diffusée dans les universités.
En voici le texte, présenté comme émanant de la Direction Générale de l'Enseignement Supérieur.
" Objet : Chargés d'enseignement et heures complémentaires
Comme vous le savez, le déficit public atteint aujourd'hui cinquante milliards d'euros. A l'instar des autres organisations, le ministère de l'enseignement supérieur et de la recherche doit apporter sa contribution à la réduction de ce déficit inacceptable. Depuis plusieurs mois, de nombreuses études ont été conduites et la réunion d'éléments suffisamment riches doit permettre l'ouverture d'un dialogue approfondi avec l'ensemble des partenaires professionnels représentés au sein des diverses commissions. Parmi les scénarii proposés, une proposition semble recueillir l'approbation de nombreuses instances. Afin d'augmenter le pouvoir d'achat des enseignants chercheurs, le taux de l'heure complémentaire sera porté à 75 euros soit une augmentation de 25%. En contrepartie, la réduction du déficit public passerait par une petite augmentation de la charge d'enseignement qui atteindrait 220 heures équivalent TD, soit à peine 10 en valeur relative. Cette proposition sera débattue lors du prochain collectif parlementaire et je ne manquerai pas de vous tenir informé."
Madame Pécresse a dû en conséquence adresser un courrier aux Universités, précisant que cette circulaire est un faux, et que le Ministère portait plainte.
Le nombre d'heures pouvant paraître faible à quiconque ne connaît pas l'enseignement et la recherche, certaines précisions s'imposent.
Comme indiqué, un Maître de Conférences doit assurer 192 heures par an, soit 8 heures par semaine, sur deux semestres de 12 semaines. Contrairement à ce qu'affirment les propagandes anti-profs diffusées depuis des années (par les élèves et étudiants ignares et leurs parents), le nombre d'heures en classe de Collège/Lycée ou de cours à l'Université est très loin de représenter l'intégralité du travail d'un professeur, et encore moins du travail d'un enseignant-chercheur...
D'abord, les tâches diverses incombant à un professeur de l'Enseignement Secondaire qui fait son travail correctement:
- préparer ses cours et les renouveler : s'il est sérieux, ces cours ne sont pas faits une fois pour toute, mais améliorés et augmentés au fil de l'année et des années, en fonction des besoins, des réactions différentes des élèves et de l’évolution des programmes...
- un unique travail ne suffit pas : il faut prévoir des activités de rechange si quelque chose "ne marche pas bien" et lasse les élèves d'un groupe (alors que ceux d'un autre groupe sont intéressés)
- maîtriser le programme de ses cours (et déjà en avoir pris connaissance, sans se contenter de suivre le livre de l’élève), le cours de la séance, et les élèves, de manière à s'adapter aux difficultés, changer le rythme, passer plus de temps pour expliquer si nécessaire, donc revoir son "planning" (préparé à l'avance mais modulable et non pas improvisé chaque jour, comme le font ceux/celles qui croient ‘maîtriser’ leur sujet…)
- il faut préparer les contrôles ou évaluations, eux aussi adaptés aux élèves de l’année et de ce qui a pu être fait ;
- éventuellement, faire une autre évaluation pour "rattraper" ;
- corriger les copies-- si l'on ne fait que des QCMs, c'est simple, mais lorsque l'on doit lire chaque ligne et chaque mot, et que l'on corrige réellement une dissertation(orthographe et grammaire, idées et argumentation, ...), cela prend du temps, surtout si on n’évalue pas une copie ‘au pif’ (au nom de l’expérience) et qu’on a un barème à respecter ;
- dans tous ces cas, un professeur sérieux ne se contente pas de (photo)copier -photopiller la production intellectuelle, donc- et de lire des cours, contrôles et "corrigés" tous prêts, mais prépare une grande partie (sinon, tous) ses cours, contrôles et corrigés lui-même, ce qui prend beaucoup de temps, et encore plus en équipe… ;
- cette créativité, lorsqu'elle implique l'utilisation de divers supports (texte, audio, vidéo, électronique)-- ce qu'exigent d'ailleurs les élèves et leurs parents--, multiplie par d'importants facteurs le temps de préparation, sans mentionner le temps de vérification et d’installation du matériel communautaire ;
- préparer les travaux pratiques dans les disciplines scientifiques ;
- répondre aux élèves (ou aux étudiants) entre deux cours ;
- recevoir les parents, y compris en classes préparatoires (CPGE), voire en fac, lors des réunions organisées, et en rendez-vous particuliers-- parfois même téléphoner aux parents, le meilleur moyen d'avoir un contact avec des parents-fantômes ;
- préparer les conseils de classe (ce qui est plus long pour le professeur principal, qui doit faire la synthèse de tout), y assister ;
- régler les problèmes qui peuvent survenir, bien qu’ils relèvent souvent davantage de l’éducation et de la psycho-sociologie que de la pédagogie et de l’instruction;
- faire face aux perturbateurs, aux élèves et même aux classes difficiles, ce qui, même avec une grande maîtrise, est extrêmement pénible et fatigant : que les parents qui ne sont pas maîtres de leur enfant et demi imaginent ce que représente la gestion d’une seule clase à 24 ou 30, et qu’ils multiplient par 4, 5 ou 6 et plus ;
- préparer les élèves au Baccalauréat (en préparant ses propres "corrigés", ceux des Annales étant le plus souvent peu fiables ou incomplets), en s'adaptant aux nouvelles épreuves ;
- surveiller le Baccalauréat, c’est-à-dire surveiller, ce qui est loin d'être amusant (si l'on surveille vraiment, on ne passe pas quatre heures à lire, mais à observer les élèves, à donner du papier toutes les deux minutes, à résoudre les problèmes qui peuvent survenir, ...)
- faire passer les épreuves orales, ce qui dans certains cas suppose d'avoir préparé des documents
- corriger en temps très limité des centaines de copies, sachant que les annotations ne seront pas lues au-delà de la note, pour être ensuite froissées et finalement jetées à la corbeille;
- assister aux jurys de Baccalauréat-- le tout aura lieu plus tard cette année ;
- fournir des sujets d’examens, avec leurs corrigés et barème ;
- corriger des copies d’examens professionnels en post-bac en cours d'année ;
- participer à la formation des étudiants d’IUFM, en les recevant dans ses classes, en assistant à leurs cours d’entraînement et en assurant la critique formatrice et bienveillante;
Si le nombre d'heures de cours peut paraître faible par rapport aux "35heures" (dans le Secondaire: 15 heures pour un Agrégé, 18 pour un Certifié), il faut pourtant savoir avant d'éreinter les enseignants, que:
- les nombreuses heures de réunions (pré-conseil, organisation d'un cours en équipe ou d’une épreuve commune, "conseils pédagogiques" en début et fin d'année, conseils de classes et rendez-vous avec les parents) : imposés, ils ne sont pas comptés et non payés ;
- une heure de cours peut être très agréable, mais avec ne serait-ce que deux ou trois élèves ‘vivants’ (c’est à dire pénibles, en langage codé), elle peut être insupportable ;
- les malheureux professeurs doivent subir chaque heure, chaque jour, toute l'année, des classes entières d'élèves insupportables, qui ne craignent ni l'autorité naturelle du professeur, ni les sanctions réelles, ni même dans certains cas la police, sont totalement épuisés physiquement et moralement à la fin de la journée. C'est une fatigue tellement lourde à supporter qu’on a prévu des profs-remplaçants (TZR);
- pour un professeur sérieux, les temps de préparation et correction (sans compter les épreuves nationales) multiplient facilement par deux ou trois le nombre d'heures hebdomadaire (45-54)
- pour faire face aux besoins, des heures peuvent être imposées (une heure ou deux par semaine ne peuvent être refusées), notamment pour répartir tous les groupes dans tous les emplois du temps ;
- les emplois du temps mal faits, imposés par des administrations incompétentes (trop souvent composées d’anciens profs qui ne pouvaient sans dommages être laissées en présence d’élèves), peuvent donner des journées d'une longueur double, parsemées de "trous" durant lesquels quasiment rien ne peut être fait; souvent, des professeurs doivent se déplacer pour seulement deux heures de cours dans la journée, en plein milieu de la journée, ce qui est loin d'être un privilège enviable,ni compatible avec une vie de famille. Car les profs sont des êtres humains et non des robots programmés à tout supporter ;
- les temps de déplacement ne sont jamais comptés dans les heures hebdomadaires.
Les vacances, enviées et reprochées aux professeurs, ne sont pas que des moments de loisir intégral, trop souvent confondu avec le bronzage du même nom, puisqu'il faut:
- éventuellement préparer de nouveaux cours et contrôles pour l'année suivante, quand on connaît ses classes ou niveaux, au risque que tout ait changé à la rentrée, 'dans l'intérêt du service' ;
- corriger des copies au kilo;
- faire à ses frais des stages de remise à niveau (quand l’administration respectueuse des profs -leurs collègues- et leurs vies de famille n’en propose pas … le mercredi après-midi ! ) et des séjours d’entretien à l’étranger pour les linguistes, etc…
Les dates de vacances étant imposées, les professeurs ne peuvent partir qu’en haute saison, dans l’affluence et au prix fort: le camping reste d’ailleurs le type de vacances privilégié de ces cadres supérieurs aux ‘salaires’ de Français moyens.
Les parents, en revanche, ne se privent pas de faire manquer leurs enfants un ou deux jours, parfois même une semaine (!), par exemple pour aller ou revenir du 'bled' ou des Seychelles, en partant plus tôt pour revenir plus tard, grâce à l’organisation du travail en entreprise.

D'ailleurs, depuis le Gouvernement Jospin, dès le Jeudi soir, les media annoncent immanquablement que "c'est les vacances!" , alors qu'il y a toujours cours jusqu’au vendredi après-midi inclus, voire le samedi matin.
Signalons pour conclure sur le chapître des vacances, que William Leymergie dispose du même rythme de vacances que les profs de ses petits enfants... Tout bien considéré, regardez autour de vous -et dans votre glace- et vous approcherez le nombre officiel de jours de vacances des profs que votre culture envieuse à la française vous pousse injustement à décompter largement, sans retrancher les jours dont vous bénéficiez aussi, comme les ponts du 14 juillet et du 15 août et toutes les fins de semaines, à partir du vendredi midi....
Dans les Classes Préparatoires, la situation n'est pas meilleure:
- préparation des cours et contrôles, avec correction ;
- comme pour le Baccalauréat, les "corrigés" des Annales ne sont pas souvent de bonne qualité; il ne "suffit" donc pas de copier et lire ;
- préparation des travaux pratiques pour les disciplines scientifiques ;
- organisation d'épreuves orales chaque semaine-- et en faire passer soi-même et parfois participer aux interrogations orales d’entraînement appelées ‘colles’;
- corriger des copies de Concours, faire passer des Oraux chaque semaine.
L'Université n'est pas non plus un "paradis pour planqués privilégiés" (notons que ce qui suit varie selon le niveau et la spécialité, selon qu'il s'agit de "cours magistraux" ou de "travaux dirigés", mais un professeur a rarement un unique type de cours):
- préparation des cours, des sujets de contrôle ;
- correction de centaines de copies, durant chaque semestre et à l'occasion des (examens) "partiels" (après les avoir surveillés) ;
- préparation des travaux pratiques pour les spécialités scientifiques ;
- réception et suivi des étudiants ;
- jurys de fin d'année ;- réunions relatives au fonctionnement de l'U.F.R.
Dans le cas des Concours (CAPES et Agrégation), en disciplines littéraires, par exemple:
- le programme change chaque année, et donc les cours aussi ;
- les épreuves écrites, comportant des centaines de dissertations de plusieurs feuilles doubles, sont très longues à corriger quand elles sont déchiffrables;
- les épreuves orales se déroulent de la mi-fin Juin à la fin Juillet, tous les jours (oui, 14 Juillet et Dimanche compris, comme dans les grandes surfaces), de 7h à 18h-- si les Universités "finissent tôt et commencent tard", c'est pour cette bonne raison !
- lorsque l'on a fait passer les oraux, il ne reste plus que deux mois pour préparer un cours de Littérature d'un niveau relativement élevé, et pas nécessairement sur une oeuvre que l'on maîtrise parfaitement, mais souvent sur des textes obscurs ou relativement inconnus ;
- il faut toujours préparer ses autres cours ;- il faut faire passer des épreuves écrites et orales régulièrement durant le semestre pour entraîner les étudiants.
Lorsque l'on est enseignant-chercheur, on doit certes enseigner 8 heures de cours par semaine au lieu de 15 ou 18, comme Julien Dray, mais:
- la charge de travail (préparations et corrections) demeure pour chaque cours (avec des copies évidemment bien plus denses que celles de Collège ou Lycée)
- les décharges sont faites pour permettre d'assumer des fonctions administratives,
- et bien sûr, pour accomplir son travail de chercheur-- un deuxième travail, au nombre d'heures très élevé et incalculable sur la base des 35 heures.
Le travail de chercheur, c'est:
- passer des heures dans son laboratoire (même le dimanche), devant son ordinateur (jusqu’au matin) ou ses feuilles de papier, en bibliothèque ou même (horreur, que vont penser les voisins!) à la maison, pour observer, étudier, lire des centaines d'ouvrages et d'articles (des milliers de pages), analyser (résultats d'expériences et oeuvres littéraires, articles et comptes-rendus) ;
- publier autant que possible-- des livres, ou des articles, que d'autres chercheurs doivent lire et sélectionner ;
- assister et participer autant que possible à des réunions de groupes de recherche, des conférences, des colloques-- et bien sûr, il faut bien que quelqu'un les organise, les dirige, les prépare ;
- diriger les travaux d'étudiants (Maîtrise, DEA, Doctorat-- selon la nomenclature "LMD": M1, M2, D), qui sont susceptibles d'avoir besoin d'aide, non seulement aux heures de réception à l'université, mais aussi le soir (ou la nuit) au téléphone ou par e-mail, durant les vacances comme durant les périodes de cours.
Les professeurs sont donc très très loin d'être des privilégiés.
On ne l’a toujours pas compris dans le public, le nombre d'heures de cours ne représente qu'une faible partie du travail-- c'est à la limite la plus légère en théorie, puisque tout a été mis au point, mais dans la pratique du terrain, avec des élèves constamment encouragés à la nullité et au manque de respect, les cours sont de plus en plus pénibles pour les professeurs de Collège et Lycée; ce qui soulève la question d'une juste évaluation de la pénibilité du métier d'enseignant: combien pour une agression verbale, un crachat et combien pour un coup de couteau, dans le bras ou dans le ventre, est-ce le même tarif, dans une société de prévention ?
Quant à l'Université, il arrive d'avoir des séances de trois ou quatre heures de cours, évidemment fatigantes, autant intellectuellement que pédagogiquement et physiquement. Plus que chauffeur de taxi ou délégué syndical ? La préparation constante et les corrections longues amènent à un total hebdomadaire bien supérieur aux tristement célèbres 35 heures (ou même 40 heures).
Pour un enseignant-chercheur, la charge de travail est encore beaucoup plus lourde. Il ne faut pas oublier non plus que pour devenir Agrégé, Maître de Conférences, puis Professeur des Universités, de nombreuses années d'études et de recherches difficiles sont nécessaires, qui sont tout à fait comparables à des études de médecine de spécialité-- souvent sans bénéficier d'aide financière ni de crédit-temps, et encore moins de promesse de fortune rapide.
De plus, les frais d'un enseignant-chercheur sont importants: tout ne peut être trouvé et emprunté à la bibliothèque universitaire du coin-- et dans certains cas, notamment pour les sciences humaines, les documents ne sont disponibles qu'à l'étranger, et certains ouvrages sont particulièrement onéreux. Pourtant, malgré les pièces justificatives des intéressés, obtenir des services des Impôts des déductions pour ces frais (livres, déplacements pour recherche, ...) est extrêmement difficile, voire impossible-- l'agent des Impôts trouve toujours que vous ne remplissez pas les conditions.
La situation est évidemment plus facile lorsque vous êtes syndiqué, fortement politisé et politiquement actif. C’est ainsi que votre progression de carrière peut être plus rapide que celle du professeur simplement mais totalement investi dans ses cours et dévoué à ses élèves, avec rigueur mais sans démagogie. Certaines carrières sont fulgurantes qui se déroulent en commission paritaire où les représentants syndicaux reconnaissants exercent des pressions et obtiennent la récompense des 'bons' professeurs: des collègues syndicalement ou/et ‘politiquement corrects’ peuvent aisément gagner une dizaine d’années sur les autres: c'est ce que Sa Cynique Majesté Royal appelle la 'république juste'. Le mérite est une bonne blague s’il consiste pour un professeur à se mêler de tout dans l’établissement, du sol au plafond, du Conseil d’Etablissement à l’Amicale des anciens professeurs, en passant par la section claquettes du Foyer des élèves !

Les professeurs ont tout à gagner, non pas à peaufiner leurs cours, mais à flatter leur patron et à passer leur temps à endoctriner élèves ou étudiants au troquet le plus proche pour les entraîner dans la rue sous de faux prétextes (tels le faux document à l'origine de ce message). Certains enseignants ne bénéficieront jamais des petits avantages créés entre "camarades", car ce sont des enseignants pédagogues (chercheurs ou non) qui ne s'enquièrent pas des opinions politiques des autres pour décider de leur adresser la parole ou non, et qui font leur travail avec la plus grande conscience professionnelle, trop discrètement et honnêtement (et non en promettant Bac et diplômes aux élèves qui ne font jamais rien, en échange de la "révolution"), mais c'est une autre (longue) histoire...

Sa Cynique Majesté Royal a d'ailleurs fait beaucoup de tort à l'image des enseignants de nos enfants, en les accusant d'avoir assez de temps libre pour se vendre à des entreprises privés de cours particuliers. "Travailler plus pour gagner plus" est une nécessité qui échappe à cette privilégiée qui en tant que patronne a eté condamnée au tribunal pour refus de payer les heures de ses collaboratrices.
Il fallait donc ici donner satisfaction à nos lecteurs qui demandent régulièrement la contribution de PaSiDupes pour leur rendre leur fierté. Face au totalitarisme des syndicats -dont celui du SNES-FSU- et en réaction au dénigrement général, ce blog considère comme un devoir de rendre hommage au travail obscur des professeurs qui font honneur à la profession, sans les honneurs, et pas même la reconnaissance, du système.

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